Vitrage : Covea mise sur les réseaux les mieux structurés

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« Notre prestataire agréé représentant la compagnie d’assurances, nous attendons donc de lui qu’il soit irréprochable (horaires, condition d’accueil, qualité des travaux, traitement du dossier, etc.) vis-à-vis de nos assurés. Et c’est particulièrement vrai dans le vitrage, pour lequel nous lui demandons de collecter les éléments de déclaration et de vérifier la garantie du client », affirme David Thévenot, responsable Service technique auto de Covéa. « Seulement après vient le sujet du prix de la prestation et le respect du coût moyen », pour lesquels un taux de réparation élevé intéresse l’assureur, compte tenu du prix des pare-brise. L’une des spécificités de ce marché est que « contrairement à la réparation-collision, il ne s’agit pas d’une relation à quatre*. Le réparateur est responsable de l’ensemble de la chaîne. »

Pour affronter ces contraintes, là où certains assureurs agréent les enseignes site par site, Covéa préfère travailler avec les réseaux de réparation vitrage les mieux structurés. L’importance de son cahier des charges la pousse à privilégier les réseaux dotés d’une plateforme centralisée permettant de gérer tout le back office (accueil client, prise de rdv, demande d’accord, facturation) … et prêts à assurer des services haut de gamme comme le recalibrage ADAS.

Par exemple, David Thévenot observe que la prise de rendez-vous en ligne est plus répandue sur le marché du vitrage qu’en réparation-collision. Des choix opposés aux « réseaux opportunistes » qui font payer aux assureurs les cadeaux déraisonnables à leurs clients, sur un marché où les marges sont importantes… avec des répercussions sur le tarif des assurances vitrage.

*Assuré, assureur, expert et réparateur.

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