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Sponsorisé par Stellantis

Au cœur de l’économie circulaire

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B-parts

À l’heure où le parc roulant vieillit, où l’inflation persiste et où l’écologie est au cœur de toutes les priorités, la plateforme e-commerce B-Parts se fait le porte-drapeau, au niveau européen, de la pièce de réemploi.

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Depuis le 1er janvier 2017, la loi oblige les réparateurs à proposer à leurs clients des pièces de réemploi (PRE) ou PIEC. Sous cet acronyme signifiant pièce issue de l’économie circulaire se cache l’une des étapes essentielles de l’après-vente automobile vers la transition écologique. En effet, écologie et économies sont devenues des priorités pour tous les consommateurs…La PIE Coffre, à elle seule, ces deux avantages. Économique d’abord, car le prix d’une pièce d’occasion est en moyenne 70 % moins cher que celui d’une pièce neuve. Une aubaine pour les automobilistes, à l’heure où le parc vieillit et où la conjoncture inflationniste n’a jamais été aussi oppressante. Une aubaine également pour les réparateurs, les PIEC, moins chères, offrant des marges plus intéressantes que sur des pièces neuves.

Écologique ensuite puisqu’en répondant à une logique d’économie circulaire, elles permettent de réduire le gaspillage et la consommation de ressources, tant en termes de matières premières que d’énergie. D'autant que loin de continuer à coller à l’image d’Épinal selon laquelle la pièce d’occasion est une pièce crasseuse synonyme de mauvaises surprises, elle est aujourd’hui issue d’une filière ultra-structurée, au process de récupération désormais industrialisé. Aujourd’hui donc, ces pièces sont tracées, contrôlées, nettoyées, référencées et garanties par des acteurs devenus spécialistes de la vente de pièces d’occasion d’origine, à l’instar de B-Parts.

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B-parts

Plateforme n° 1 de pièces d’occasion en Europe

Née à Porto en 2015 et propriété de Stellantis depuis 2020, la marketplace dédiée à la pièce d’occasion B-Parts œuvre pour que la pièce d’occasion devienne une véritable alternative à la pièce neuve. Pour ce faire, le site a noué des partenariats avec plus de 90 centres de recyclage installés dans 7 pays (Portugal, Espagne, Italie, France, Allemagne, Lituanie et Pays-Bas) et peut ainsi proposer quelque 4,5 millions de références de pièces d’occasion d’origine en stock, mis à jour quotidiennement. Pour la France, afin d’être au plus proche des réparateurs, en plus de ses partenariats européens, B-Parts s’appuie sur des partenaires nationaux pour la fourniture de pièces de réemploi. Il en va de même pour la vente en ligne, avec des partenaires comme Feu Vert et Mister-Auto, site spécialisé dans la vente en ligne de pièces détachées. De plus, à l’instar de n’importe quel distributeur de pièces neuves, B-Parts met un point d’honneur à offrir le meilleur niveau de service qui soit.

In fine, la marketplace propose donc une assistance multilingue en 8 langues, une assistance technique ad hoc, un délai de livraison moyen de 1 à 4 jours ouvrables en France, ou encore une garantie des pièces de 12 mois. Récemment, B-Parts et Citroën ont également développé un catalogue de pièces d’occasion dédiées à la marque aux chevrons. De quoi renforcer encore la position de la marketplace en tant que canal de vente le plus pertinent pour les pièces d’origine d’occasion. À noter qu’à ce jour, B-Parts compte 135 000 clients pour 2 millions de visiteurs uniques par mois. Pour 2022, la marketplace prévoit, en outre, de croître de 100% par rapport à l’an dernier. Une croissance ambitieuse qu’elle accompagne d’une présence, pour la première fois de son histoire, lors de la grand-messe de l’après-vente, EquipAuto, sur le stand de Distrigo (Hall 1 stand J097).

B-Parts est sans aucun doute une alternative à la pièce neuve

Interview | Patricia Jorge, Cheffes des ventes B-PARTS

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PATRICIA JORGE
De quel constat B-Parts est-elle née ?

L’un de nos fondateurs, Luis Vieira, qui a toujours eu une passion pour les automobiles, a dû changer ses optiques au xénon lorsqu’il était à l’université. Il voulait des pièces d’origine d’occasion et ce n’est qu’après avoir passé de nombreux appels téléphoniques et visités différents centres VHU qu’il a finalement pu trouver les pièces pour les remplacer sur sa voiture. C’est de là que l’idée d’entreprise est née. En 2015, Luis Vieira et Manuel Monteiro créent B-Parts, plateforme de vente de pièces d’occasion sur le marché européen ciblant à la fois le BtoC et le BtoB.

Pouvez-vous nous expliquer quelle est la mécanique mise en place par B-Parts pour le réemploi des pièces auto ?

Notre inventaire de pièces détachées compte plus de 60 marques de voitures. Et c’est dans cette diversité des marques que réside notre force. Notre avantage est également de disposer d’un stock de plus de 4,5 millions de pièces d’occasion, mis à jour quotidiennement, couvrant 7 familles de produits, des pièces de carrosserie en passant par l’éclairage ou encore les éléments intérieurs. Pour arriver à disposer d’un stock dont la profondeur et l’ampleur sont aussi significatives, nous travaillons avec 7 pays fournisseurs (Portugal, Espagne, Allemagne, Hollande, Lituanie, Italie et France). Et en l’occurrence, une partie importante de notre succès s’explique par la relation de confiance que nous avons avec nos fournisseurs, mais aussi parle évaluations régulières que nous effectuons auprès d’eux sur les produits vendus et sur l’analyse des non-conformités. L’un de nos objectifs est de les aider à vendre davantage par le biais de notre chaîne. Nous avons ainsi réussi à obtenir des taux de progression de leurs ventes parfois supérieurs à 70 %.

Pourquoi les pièces B-Parts se positionnent-elles en alternatives a la pièce neuve ?

En effet, B-Parts est sans aucun doute une alternative à la pièce neuve. Face aux différents segments de l’économie circulaire, B-Parts a la solution pour de multiples situations de réparation de véhicules, avec des pièces d’occasion. Par exemple, pour des réparations dont les pièces ne sont plus fabriquées parle constructeurs, ou sur des véhicules hors de la période de garantie et sans contrat d’entretien, ou encore sur des véhicules dotés d’une option OEM dont le délai de livraison est excessif, ce qui est une réalité aujourd’hui. Ou enfin, pour des réparations sur des véhicules qui ne sont pas économiquement viables pour les assureurs… Choisir les pièces d’occasion de B-Parts, c’est également bénéficier d’un avantage indéniable en termes de prix. Mais ce n’est pas le seul élément qui nous distingue et nous guide. Réduire l’impact de la circulation des pièces entre les pays est l’un de nos objectifs. Nous développons donc un algorithme qui permettra de rapprocher le point de départ des pièces du client.

Comment B-Parts se positionne-t-il aujourd’hui sur le marché européen ?

En 2021, nous avons réalisé des ventes dans 137 pays et le marché européen représente 90% de notre volume d’affaires. Le site existe d’ailleurs actuellement dans plusieurs langues : allemand, anglais, danois, espagnol, français, italien, norvégien et portugais. Une version néerlandaise sera également disponible en octobre. En 2022, nous devrions honorer quelque 150 000 commandes sur l’ensemble des marchés sur lesquels nous sommes présents, soit près de 200 000 pièces d’occasion vendues.

Quelles sont vos ambitions de développement pour B-Parts ?

Stellantis est l’actionnaire majoritaire de B-Parts depuis 2020. En plus de représenter une énorme responsabilité institutionnelle, cela génère également un certain nombre d’opportunités commerciales présentes et futures. Une étude avancée est déjà en cours pour entendre l’activité à une nouvelle géographie, hors Europe, qui implique la création d’un nouveau réseau de fournisseurs locaux, adapté aux besoins du parc automobile et aux cultures d’achat auxquels nous devrons nous adapter. La grande ambition et le défi pour les trois ou quatre prochaines années seront, d’une part, de maintenir notre rythme de croissance sur le marché européen sur les canaux BtoC et BtoB. Et, d’autre part, de développer une nouvelle voie de croissance en opérant sur un marché non européen. 

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