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Chimirec adapte sa collecte à l’urgence

Caroline Ridet
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Impossible de maintenir le service de collecte à l’identique dans les circonstances actuelles avec des activités ateliers réduites (et donc moins de déchets émis) mais également avec l’obligation de répondre aux enjeux de sécurité. Chimirec a divisé par deux son niveau de collecte jusqu'au 27 mars pour ensuite constater une baisse de 75 %. «En revanche, nous commençons à voir des ateliers qui rouvrent uniquement pour la partie mécanique», assure Stéphane Debicki, directeur commercial Chimirec. Le collecteur de déchet a donc adapté son niveau de service. Comme de nombreux prestataires, il répond donc exclusivement aux demandes prioritaires « en particulier en cas de risque industriel et/ou environnemental », précise le prestataire. Dans ce cadre, Chimirec a décidé de maintenir au maximum le pompage des huiles noires usagées, « car si la cuve est pleine dans le garage, plus de vidange possible». Ces opérations se déroulent dans le respect des mesures barrières nécessaires pour protéger la santé de ses employés, ainsi que celles de ses clients. Toutes les prestations se font donc à la demande en contactant, soit son interlocuteur habituel, qui pourra aussi indiquer une personne d’astreinte en cas d’impossibilité pour lui de répondre. Enfin, Chimirec a mis en place un mail spécifique : urgence@chimirec.fr.

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