Posez vos questions à Franck Millet, cofondateur d’Otop

Romain Thirion
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MILLET Franck
Moins de six mois après sa naissance, le concept disruptif de distribution de pièces Otop a déjà suscité huit articles et inspiré 4 commentaires sur notre site. Mais jusqu’ici, seules nos propres interrogations ont été adressées aux dirigeants de Newdis, sa maison-mère. A présent, c’est à vous qu’il revient de poser VOS questions à Franck Millet, cofondateur d’Otop.
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Que n’a-t-on pas dit et surtout écrit au sujet d’Otop depuis l’officialisation du concept au début du mois de février dernier ? Dès son lancement, le concept disruptif de distribution de pièces auto développé par la société Newdis France a fait couler beaucoup d’encre

Car il a de quoi étonner dans un secteur biberonné à la livraison gratuite à H+4, en particulier pour les pièces de grande vente, lui qui ne promet qu’une seule livraison (à tarif unique de 6,90 euros) d’un panier complet à J+1. Car il a de quoi surprendre dans un métier où le web chamboule les tarifs, lui qui propose aux pros des remises plus importantes encore que celles proposées par les pure-players. Car il a de quoi déconcerter lorsque l’on sait que de telles conditions concernent des pièces premium, Newdis ayant fait le choix de ne se fournir qu’auprès d’équipementiers leaders dans leur domaine.

Tout en promettant beaucoup aux réparateurs, Otop promet également un cadre et des conditions de travail inédites à ses adhérents concessionnaires. Approvisionnement nocturne sécurisé, gestion de l’activité entièrement digitalisée, livraison des clients le matin et possibilité de baisser le rideau une fois la tournée effectuée, pour un meilleur équilibre du temps professionnel et du temps personnel… Autant d’atouts vantés par Newdis France aux prospects rencontrés lors de réunions régionales ou de salons tels que Franchise Expo Paris, au mois de mars dernier.

Si le concept semble prendre racine et ses arguments trouver grâce aux yeux des professionnels de l’entretien-réparation, y compris sur des familles de pièces plus techniques, il agace aussi autant qu'il déconcerte. Comme ce lecteur agacé par tant d'unanimité béate. Comme ces témoignages interloqués...

A votre tour de réagir ! Nous vous offrons l’occasion, cette fois-ci, de poser VOS questions à Franck Millet, dirigeant de Newdis France et cofondateur d’Otop. Vous pouvez vous identifier ou rester anonyme, mais notre interlocuteur s’engage, lui, à répondre à TOUTES les questions que vous nous aurez soumises, et nous nous engageons de notre côté à TOUTES les publier dans le numéro 125 d’Après-Vente Auto, à paraître en juillet/août 2018 !

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Romain Thirion
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