Bien choisir sa cabine de peinture
Centrale dans un atelier de réparation carrosserie, la cabine de peinture est indéniablement l’investissement le plus lourd pour cette activité. Zepros a réalisé un comparatif entre cinq modèles présents sur le marché français.
La cabine de peinture reste non seulement l'équipement le plus cher à acquérir pour le carrossier, mais c’est aussi un équipement encombrant, énergivore et souvent un véritable goulet d’étranglement dans la gestion des flux des véhicules. Autant de raisons pour bien cibler ses besoins et ses objectifs. L’étude que nous vous proposons récapitule l’ensemble des points clés à scruter. Un outil qui devrait vous apporter des réponses afin de vous éclairer et vous guider sur vos choix futurs en fonction de vos exigences et surtout de vos besoins. Soulignons d’emblée qu’une cabine de peinture ne se suffit plus à elle-même. Elle doit être intégrée dans un concept global comprenant les aires de préparation, le laboratoire de colorimétrie, les nettoyeurs de pistolets, les sécheurs infrarouges… Soit un ensemble cohérent et opérationnel considérant les notions de rationalisation, d’ergonomie, de gestion des flux de véhicules, etc. Un environnement ayant comme objectifs la qualité du travail, l’hygiène des professionnels, des économies d’énergie et la productivité.
Respecter les normes
Rappelons, aussi s’il est nécessaire, que toute cabine doit répondre à une série de réglementations régissant à la fois la protection de l’environnement et la sécurité des professionnels. Les organismes et administrations pour l’application de ces normes sont la DRIRE, la CRAM, l’Inspection du travail et l’INRS. Chacun de ces organismes a son rôle préventif et informatif avec des pouvoirs exécutifs et répressifs.
Martial Burat
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