CIN Monopol mise sur le spot repair

« C’est un produit haut de gamme et conforme au taux de composés organiques volatils (COV) règlementaires. Compatible avec tous les systèmes de teintes du marché, il offre un rapport prix/performance bien placé et aide les carrossiers à améliorer leurs marges si elles sont compressées », plaide Franck Levin, directeur général de CIN Monopol. Car l’émergence d’un vernis UV a mis longtemps à se produire, or la technologie se prête particulièrement au spot repair « ou pour peindre les sous-ensembles », souligne Franck Levin.

Une solution bi-composants conçue pour permettre des réparations en un temps réduit grâce à un séchage instantané sous rayonnement ultraviolet à Led, comme son nom l’indique. A la clé : une meilleure productivité, moins d’énergie consommée, des coûts d’installation et de mise en œuvre réduits, une grande résistance à la rayure et une capacité à recouvrir l’essentiel des systèmes de bases à vernir – hydrodiluables ou solvantées – utilisées dans la réparation automobile en France. 

Avec de la suite dans les idées, CIN Monopol prépare la sortie d’une gamme d’apprêts UV monocomposants. Malgré le fait que le fabricant se concentre, depuis l’arrivée des peintures solvantées, sur les peintures industrielles, de véhicules commerciaux ou ferroviaires – entre autres – un tiers de son CA reste effectué sur la peinture VL.