Les interventions de « Do It Yourself » sont à 71 % des opérations d’entretien courant. Cette observation est tirée de la première enquête réalisée par Oscaro auprès de 1 620 de ses clients, en collaboration avec l’institut BVA, pour dresser le profil de l’auto-réparateur type. Cette étude permet au pure-player de valoriser la maîtrise de son secteur, un après son rachat par PHE et l’assainissement de ses comptes.Oscaro définit l’auto-réparateur comme étant un individu qui a effectué lui-même une opération d’entretien ou de réparation sur son véhicule au cours des 24 derniers mois. Ses actions s’étendent du simple changement d’essuie-glace au remplacement de plaquette de frein. Et tous ne correspondent pas forcément à l’image du cliché habituel. 40 % sont des femmes. Les particuliers mettent aussi les mains dans le cambouis de plus en plus tôt. 38 % ont entre 18 et 34 ans. « D’un point de vue investissement/temps, l’autoréparation est accessible à tous », souligne Jan Löning, nouveau DG d’Oscaro. 56 % des auto-réparateurs se considèrent d’ailleurs comme débutants et 61 % d’entre eux consacrent moins de quatre heures par mois à l’entretien de leur véhicule. Le principal argument reste tout de même l’impact économique : 65 % des amateurs en font leur première source de motivation.