NSK investit la Roumanie

Après deux ans de gestation, NSK s’implante en Roumanie, à Ploiesti, à proximité de l'aéroport de Bucarest. C’est l'un des plus grands centres industriels du pays, permettant à NSK de développer ses activités en Europe du Sud-Est. Ce nouveau bureau assurera la vente, les services à la clientèle et le support technique. Il proposera la gamme complète NSK sur ce marché, mais les roulements à rouleaux et les roulements de plus grande taille destinés aux secteurs de l'acier, du ciment et de l’exploitation des mines et carrières devraient connaître une forte demande.

C’est Valentin Blanaru, fort de 15 années d’expérience chez NSK, qui a pris en charge la responsabilité de ce nouveau marché. « Je suis ravi d'avoir eu cette opportunité et impatient de mettre en place une équipe locale solide capable de fournir à nos clients le soutien qu’ils méritent en matière de ventes, d'ingénierie et de service. Nous avons une vision ambitieuse pour la Roumanie et je suis impatient d'adapter les atouts de NSK Europe au marché local afin d’offrir à nos clients le meilleur soutien possible. Nous proposerons une gamme complète de services, y compris des conseils techniques pour lesquels nous utiliserons pleinement nos solides ressources en R&D et l'expertise de notre responsable de secteur. Nous relancerons également notre programme de valeur ajoutée AIP, qui nous permettra de travailler avec nos distributeurs pour créer de nouvelles opportunités de croissance des ventes », assure Valentin Blanaru. 

Dans ses nouvelles fonctions, Valentin Blanaru reportera à Maciej Piatkowski, responsable OEM de NSK Europe. « NSK a déjà plus de 20 ans d'expérience en Europe de l'Est grâce à sa présence en Pologne et nous sommes convaincus que le paysage industriel roumain s'inscrira parfaitement dans notre stratégie d’approche sectorielle. Nous avons identifié la Roumanie comme étant un marché attractif et en rapide évolution, ainsi que la base de départ idéale pour développer notre présence dans toute l'Europe du Sud-Est », explique Maciej Piatkowski.