Réparation des systèmes de dépollution : Autodistribution Aquitaine forme !
Le 1er juillet prochain entrera enfin en vigueur la réforme des mesures d'opacité lors du contrôle technique, qui devait avoir lieu le 1er janvier dernier mais que la crise des “gilets jaunes” avait poussé au report, le gouvernement instaurant un moratoire de six mois sur le sujet. A partir de maintenant, les centres de CT pourront obliger à une contre-visite un véhicule diesel qui dépassera les seuils limite d’opacité fixés par la réforme.
Alors pour permettre aux véhicules de leurs clients de passer la visite sans encombre ou de réussir leur contre-visite, les réparateurs ont tout intérêt à se former. Ainsi, Autodistribution Aquitaine, accompagné par le CFA Institut des Métiers de Bordeaux, a pris les devants et convié une centaine de ses clients garagistes de Gironde, de Dordogne et du Lot-et-Garonne à une soirée consacrée à la “réparation des circuits polluants du parc automobile”, le mardi 5 mars dernier. D’autant que cela représente du business en plus pour les garages.
Autodistribution dans la démarche d’Eco Entretien
«L’évolution du contrôle technique représente une opportunité de croissance vertueuse pour les réparateurs, confirme Olivier Hélore, responsable du développement commercial pièces et services techniques chez Autodistribution. En investissant dans des outils adaptés, comme la machine Écodiagnostic de Bosch, et en se formant aux nouvelles techniques, les entreprises seront en capacité de proposer à leurs clients un nouveau service d’entretien automobile économique, écologique et particulièrement innovant pour limiter les surémissions de polluants des véhicules.»
Naturellement, il convient de rappeler qu’Autodistribution commercialise la solution de Bosch dans son réseau et que le groupement s’inscrit dans la démarche d’Eco Entretien créée par la filière des services de l’auto. «D’une part, la dépollution est un enjeu très important pour le métier de réparateur : les jeunes formés aujourd’hui en seront les acteurs de premier rang, souligne de son côté Dominique Ganteille, directeur de l’Institut des Métiers. D’autre part, c’est une nouvelle occasion pour nous de rencontrer les réparateurs et de leur présenter les dispositifs que nous mettons en place pour les accompagner à accueillir des jeunes en formation dans leurs entreprises.»