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   L’Autodistribution a également annoncé la modernisation de son identité visuelle. «Cette évolution a été murie, décidée et travaillée ensemble, confie Laurent Desrouffet, nouvellement nommé directeur commercial et réseaux de l’Autodistribution. Ce sont les distributeurs qui ont voulu se poser des questions sur ce logo de 50 ans et sur les valeurs qu’il porte. Le travail de fond a concerné l’affirmation des deux marques, ‘Autoditribution’ pour les distributeurs VL et/ou PL, et ‘AD’ pour les réseaux de réparateurs.» Dans ce cadre, la signature est clarifiée : systématiquement, l’adhérent revendique être «le spécialiste de la pièce» en auto comme en PL, ou «le spécialiste de la réparation» pour les garages, dont le logotype est toujours en gestation...La validation des derniers détails de la charte graphique est en cours, et son déploiement va démarrer dans le courant de l’année. Le groupement se donne 2,5 ans pour moderniser l’ensemble de se façades. Coûteux ? «On en fait un élément d’investissement sur la marque», corrige Laurent Desrouffet. Point en l'occurrence important : les contraintes liées aux taxes locales sur la publicité extérieure ont été intégrées. Le nouveau logo réduit sa surface tout en étant plus ‘impactant’ visuellement. «Ce nouveau logo est la matérialisation de notre nouvelle image, résume le président du directoire. Une image qui exprime certes un changement, mais dans la continuité et le respect de notre histoire.»Développer le commerceLe groupement a surtout mis un point final au projet de tablette dédiée à sa force de vente. Objectif, permettre aux 1 000 attachés technico-commerciaux de se dégager du temps pour discuter plus efficacement avec le client et cerner ses vrais besoins. Car la tablette renferme toutes les infos (doublées de vidéos) sur le groupement et les produits (équipementiers partenaires mais aussi la MDD Isotech), et ce sous leurs aspects technique, marketing, sur le plan commercial avec les promotions déclinées au niveau national ou en local, ou encore du dernier argumentaire de vente à mettre en avant. Bref, tout l’AD contenu dans 600g seulement…Embarquant les données clients, elle peut aussi guider les négociations pour faire connaître une famille de produit méconnue ou encore de calculer un potentiel d’achat d’un prospect. Cette tablette eBook ne permet pas de passer directement une commande de pièces. «Pour cela, il y a déjà autossimo. Et troquer le catalogue papier contenant des dizaines de milliers de références, les promos, etc., contre une tablette de dernière génération est une petite révolution en soi », rappelle Laurent Desrouffet.Pour rester sur cette belle dynamique, le groupement entend actionner plusieurs leviers spécifiques en 2013 : développer notamment son business en B2C via le net, dans une logique ‘web-to-store’, avec la présence en ligne de 80 sites des distributeurs hébergés au sein du site ‘chapeau’ autodistribution.fr, et poursuivre sa stratégie de développement réseau, qui est «un vecteur d’optimisation des parts de marché de nos distributeurs dans leur zone de chalandise», souligne Laurent Desrouffet.«Autodistribution reste et continue d’être la première enseigne de distribution, unifiée et fédérée, conclut Stéphane Antiglio. Nous entendons poursuivre sur la base de cette philosophie afin de développer notre business model, par le biais de l’homogénéité du réseau et d’une gouvernance partagée. C’est aussi en temps de crise que l’on peut faire la différence…»
L’Autodistribution a également annoncé la modernisation de son identité visuelle. «Cette évolution a été murie, décidée et travaillée ensemble, confie Laurent Desrouffet, nouvellement nommé directeur commercial et réseaux de l’Autodistribution. Ce sont les distributeurs qui ont voulu se poser des questions sur ce logo de 50 ans et sur les valeurs qu’il porte. Le travail de fond a concerné l’affirmation des deux marques, ‘Autoditribution’ pour les distributeurs VL et/ou PL, et ‘AD’ pour les réseaux de réparateurs.» Dans ce cadre, la signature est clarifiée : systématiquement, l’adhérent revendique être «le spécialiste de la pièce» en auto comme en PL, ou «le spécialiste de la réparation» pour les garages, dont le logotype est toujours en gestation...La validation des derniers détails de la charte graphique est en cours, et son déploiement va démarrer dans le courant de l’année. Le groupement se donne 2,5 ans pour moderniser l’ensemble de se façades. Coûteux ? «On en fait un élément d’investissement sur la marque», corrige Laurent Desrouffet. Point en l'occurrence important : les contraintes liées aux taxes locales sur la publicité extérieure ont été intégrées. Le nouveau logo réduit sa surface tout en étant plus ‘impactant’ visuellement. «Ce nouveau logo est la matérialisation de notre nouvelle image, résume le président du directoire. Une image qui exprime certes un changement, mais dans la continuité et le respect de notre histoire.»Développer le commerceLe groupement a surtout mis un point final au projet de tablette dédiée à sa force de vente. Objectif, permettre aux 1 000 attachés technico-commerciaux de se dégager du temps pour discuter plus efficacement avec le client et cerner ses vrais besoins. Car la tablette renferme toutes les infos (doublées de vidéos) sur le groupement et les produits (équipementiers partenaires mais aussi la MDD Isotech), et ce sous leurs aspects technique, marketing, sur le plan commercial avec les promotions déclinées au niveau national ou en local, ou encore du dernier argumentaire de vente à mettre en avant. Bref, tout l’AD contenu dans 600g seulement…Embarquant les données clients, elle peut aussi guider les négociations pour faire connaître une famille de produit méconnue ou encore de calculer un potentiel d’achat d’un prospect. Cette tablette eBook ne permet pas de passer directement une commande de pièces. «Pour cela, il y a déjà autossimo. Et troquer le catalogue papier contenant des dizaines de milliers de références, les promos, etc., contre une tablette de dernière génération est une petite révolution en soi », rappelle Laurent Desrouffet.Pour rester sur cette belle dynamique, le groupement entend actionner plusieurs leviers spécifiques en 2013 : développer notamment son business en B2C via le net, dans une logique ‘web-to-store’, avec la présence en ligne de 80 sites des distributeurs hébergés au sein du site ‘chapeau’ autodistribution.fr, et poursuivre sa stratégie de développement réseau, qui est «un vecteur d’optimisation des parts de marché de nos distributeurs dans leur zone de chalandise», souligne Laurent Desrouffet.«Autodistribution reste et continue d’être la première enseigne de distribution, unifiée et fédérée, conclut Stéphane Antiglio. Nous entendons poursuivre sur la base de cette philosophie afin de développer notre business model, par le biais de l’homogénéité du réseau et d’une gouvernance partagée. C’est aussi en temps de crise que l’on peut faire la différence…»| L'«affaire» Precisium | 
|  Inévitablement, l’état-major de l’AD a été interrogé sur le rapprochement Groupauto-Précisium/Gefa. «Nous avons eu le dossier entre les mains et, forcément, nous nous y sommes intéressés : c’est une belle affaire, avec un beau management. Un autre a fait l’affaire…», a sobrement commenté Stéphane Antiglio. Parce que le rachat aurait potentiellement pu "désintégrer" un groupement unifié comme Autodistribution ou parce que le coût n’était pas acceptable ? «Certainement pour un peu des deux», concède-t-il.«Cela aurait effectivement été une faute de ne pas travailler la question, a renchérit Thierry Talbot, président de l’UDIAD (adhérents distributeurs indépendants). En tant que distributeur, c’était pour nous un problème de terrain, quel que soit le prix. Cela aurait généré plus de problèmes et d’incohérences qu’autre chose. Je suis très heureux pour Groupauto : la mariée est très belle…»Et s’il y a des problèmes, le groupement serait-il prêt à accueillir les déçus du "mariage" ? «Evidemment : c’est une responsabilité citoyenne !», sourit le distributeur... |