LKQ France : c’est signé pour le hub toulousain

Caroline Ridet
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Timing respecté : un entrepôt logistique à Toulouse sera bien opérationnel mi-octobre, comme annoncé à Zepros en juillet par Van Heck Interpièces-LKQ France. Le groupement ne pouvait faire l’économie d’ouvrir un hub dans la capitale de l’Occitanie qui accueillera ainsi sa onzième plateforme logistique de la pièce de rechange (*) !

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Et si l’on en croit les informations convergentes, le lieu serait également trouvé pour installer le hub parisien aux dimensions de celui de Lyon, pour une ouverture en fin d’année. Ces deux nouvelles implantations vont ainsi s’ajouter aux entrepôts de Lille, Lyon et Nancy.

De quoi renforcer la puissance du géant européen encore petit poucet en France cependant porté par le feu logistique de LKQ Europe. Car les plateformes hexagonales s’appuient également sur le dépôt central de Rotterdam ( LKQ Europe ouvre une nouvelle plateforme logistique aux Pays-Bas) qui livre de nuit ou à J+1 (suivant la région) et qui porte à lui seul 30 M€ de stocks (150 000 références). Un levier puissant pour Peter Vanosmael, DG de VHI France et Patrick Gauvent, directeur du développement France, qui veulent accélérer sérieusement dans l’Hexagone (VHIP-LKQ France en mode conquête).

Encore des trous dans la raquette

Pour affiner sa couverture nationale restera à VHIP-LKQ France à s’installer en Bretagne et dans le sud-Est avec en ligne de mire Marseille.

Muscler son dispositif logistique devenait urgent pour répondre aux attentes de ses 70 Business Partner Network (BPN) et en séduire d’autres. Toulouse pourrait également représenter un coup de pouce pour atteindre les 95 M€ de CA visé par Peter Vanosmael pour 2021.

(*) Autodistribution-ACR, Doyen Auto France, Apprau (Chaussende), PAP (IDLP), Alternative Autoparts (PAP Sud Toulouse et DAPAM), Exadis, GPI (Altone), Alliance Automotive Group (Plateforme Préférence Occitanie),et  Distrigo.

Caroline Ridet
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