Gryp 3D : « Experts et carrossiers poussent à la réparation »

Jean-Sébastien Thomas
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Il y a un an, le CESVI certifiait le procédé d’impression des pièces en 3D de l’entreprise bordelaise Gryp. Cette dernière affiche aujourd’hui un catalogue de douze références certifiées par le centre de Jaunay-Marigny (86).

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« Il s’agit de pièces qui ne sont plus distribuées, à l’image de kits de réparation de radars pour les marques Hyundai et Kia ou encore Renault », explique Léo Vergnaud, responsable production au sein de cette PME de sept salariés, qui précise qu’une quinzaine de pièces supplémentaires sont en projet de certification. « Les experts et les réparateurs poussent à la réparation de l’élément défectueux plutôt qu’au changement de l’ensemble. »

Fabriquées à la commande, ces pièces sont expédiées dans le monde entier en trois ou cinq jours. La jeune entreprise avoue être toujours en phase de reconnaissance et tente, aujourd’hui, de se rapprocher des distributeurs afin de travailler avec eux.

Jean-Sébastien Thomas
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