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SHERWIN WILLIAMS
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SHERWIN WILLIAMS

La démarche RSE au cœur de France Pare-brise

, mis à jour le 14/10/2025 à 18h33
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FRANCE PARE-BRISE

Le spécialiste vitrage a dévoilé sa feuille de route RSE pour l’année 2026. L’enseigne s’engage ainsi à réduire l’impact carbone de ses interventions. 

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En 2023, les impacts du changement climatique ont coûté 6,5Md€ aux assureurs en France, à l’international cela représente 280Md$. Selon un rapport de France Assureurs, ce chiffre devrait continuer de croître. Et le secteur du transport en est en partie responsable. Il représente 20% des émissions mondiales de CO2. Afin d’y remédier, la piste du développement durable n’est pas négligeable. A titre d’exemple, selon un dernier rapport du GIEC, en proposant des choix plus responsables, les émissions de CO2 peuvent réduire de 40 à 68%.

Mais alors comment s’y prendre ? En 2024 France Pare-brise a, avec Saint-Gobain, réalisé des analyses de « cycles de vie », c’est-à-dire que l’entreprise quantifie tous les impacts environnementaux de ses services, afin de connaître les émissions de CO2 liées à la réparation et au remplacement pare-brise. Une démarche collective réalisées avec trois acteurs du secteur, permettant au consommateur de faire un choix éclairé, grâce à des données comparables. Par la suite, une analyse est effectuée en se basant sur les données collectées auprès des adhérents. Elles sont ensuite vérifiées par un auditeur tiers-parti, selon la norme ISO 14044, permettant de mesurer et réduire l’impact environnemental des véhicules sur l’ensemble de leur durée de vie. 

Objectif bas carbone pour France Pare-brise

Des résultants qui déterminent qu’un remplacement de pare-brise standard équivaut à 80kg de CO2, soit 700km parcours avec une voiture thermique, selon l’ADEME. Chez France Pare-brise, c’est en moyenne 59kg de CO2, soit 22% de moins. Un impact carbone qui varie en fonction des produits, car ils représentent entre 70 et 80%. Tandis qu’une réparation émet dix fois moins d’émissions.

Afin de réduire ses émissions, France Pare-brise a étudié les facteurs qui en sont responsable. Pour un remplacement l’achat des produits arrive en tête avec 77%, arrive ensuite le déplacement du client, puis le véhicule de prêt et enfin la consommation du centre et les déchets. Pour une r éparation, l’achat de produit représente seulement 2%, toutefois le déplacement du client devient plus important, puis viens la consommation du centre et les déchets. « Nous devons mettre en lumière les sujets du développement durable auprès du réseau. Nous avons à cœur de nous dire ‘Il faut que ce soit collectif’. Chacun peut mener sa pierre à l’édifice », déclare Marion Berger, directrice RSE chez Sekurit AGR.

Pour continuer sur cette voie, le spécialiste vitrage développe un programme « le parcours du poseur responsable ». L’objectif : autour de huit thématiques RSE démontrer que chaque initiative a un impact significatif.

Ainsi, avec le service de reprise de pare-brise, Sekurit Circular, l’objectif à termes est de construire des pare-brise avec une fabrication européenne et un impact réduit. « Si aujourd’hui nous doublions le contenu recyclé d’un verre, nous pourrions décroître l’impact carbone de 25% », conclu-t-elle.

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